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Sarra [00:00:00]: Coucou, bienvenue au Café des Burnies, le podcast qui prend soin des nanas en burn-out. Je m'appelle Sarra, je suis dealeuse de peps pour nanas épuisées grâce à mon expertise d'infirmière, de naturopathe, de coach en résilience et ma passion pour la tricothérapie. Alors, ma mission est de t'aider à déculpabiliser, à sortir de ton isolement, à retrouver ta confiance en toi et reprendre goût à ta vie. Alors chaque semaine, que ce soit en solo, avec une nana, voire un monsieur inspirant, on parlera dévalorisation, échecs, harcèlement, mal-être, mais aussi espoir, épanouissement, reconversion et surtout tricothérapie. Alors, si tu veux que je te partage mes stratégies, celles que j'utilise pour les nanas que j'accompagne, pour que tu puisses créer ton bouclier anti-burnout, je t'invite à ma conférence en ligne, comme d'habitude, en visio, qui aura lieu le dimanche 29 octobre à 21h. Tu trouveras le lien dans le descriptif. Maintenant, détends les épaules, cohérence cardiaque et profite pleinement de cet épisode.
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Sarra [00:01:04]: Alors, j'avais envie de parler de la créativité.C'est quand même super important. Je veux dire, même si tu n'es pas artiste, même si tu n'es pas designer, même si tu es comptable, bien la créativité, c'est très important. C'est très important pour n'importe quel métier. Donc, encore une fois, même si tu es comptable, tu as besoin d'être créatif. Et c'est important aussi pour ta personne, pour ton équilibre, pour la santé de ton mental. Donc, il y a Pablo Picasso qui disait que l'inspiration existe mais elle doit vous trouver au travail et du coup quand on est en burn-in ou en burn-out, on fait comment si ce manque, ce désert créatif nous empêche du coup de bosser. Et j'aime bien rappeler quelques chiffres histoire de bien ancrer dans le cerveau que le burn-out est important, qu'il faut le prendre en compte, qu'il faut le prendre au sérieux et qu'il faut le prendre en charge. Donc toujours selon l'OMS, on est à 264 millions de personnes dans le monde qui manifestent un manque de motivation, une énergie faible et surtout un manque de créativité et une diminution super importante et inquiétante de l'inspiration.
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Sarra [00:02:17]: J'ai envie de partager comme anecdote entre guillemets, Laetitia que j'ai suivi pendant 6 mois. C'est une maman de deux enfants en bas âge. À l'époque, le bébé était vraiment un bébé. C'était le fameux bébé qui se lève souvent la nuit, et du coup elle n'avait pas touché à son pinceau, mais genre depuis des mois, pas parce qu'elle n'avait pas d'idée, mais surtout parce qu'elle était épuisée, et en fait son épuisement l'a rendu incapable de ne serait-ce que traduire ses idées en quelque chose de concret, en toile. En fait, c'est tellement le brouillard, elle était tellement noyée par la fatigue, la désorganisation, et vraiment, il n'y avait pas de temps pour elle, que finalement, le fait d'être tout le temps occupée, le fait de faire plein de choses tout le temps, constamment. Il n'y avait zéro place pour laisser le cerveau créer, imaginer et s'inspirer. Il n'y avait pas cet espace-là. Et de toute façon, même si elle avait le temps, en réalité, ça n'aurait pas changé grand-chose parce qu'il fallait mettre d'abord de l'ordre dans sa tête.
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Sarra [00:03:21]: Et surtout, il fallait déconstruire les fameux « c'est trop compliqué, c'est trop dur, c'est trop long. » Mon Dieu, elle m'a sorti ces phrases, mais je ne sais combien de fois. Et à un moment donné, donc forcément je mets le point dessus, et elle se rend compte que c'est compliqué, elle me le sort toutes les trois phrases. Et du coup, on a dû bosser dessus. Arrêter de se dire c'est compliqué. Oui, c'est compliqué, et alors ! Est-ce que c'est une raison pour ne pas le faire parce que c'est compliqué ? C'est trop dur, donc on ne le fait pas. C'est trop long, donc on le fait pas. C'est trop fastidieux, donc on le fait pas.
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Sarra [00:03:50]: Oui, je vais faire tous les synonymes. Donc on le fait pas. C'est pas un argument, en fait. C'est compliqué, ce n'est pas un argument. Et en plus, quand tu le dis, je te renvoie vers les épisodes qui parlent de de l'importance des mots qu'on utilise. Là tout de suite, je n'ai pas l'épisode, mais promis je te le mettrai dans le descriptif. Les mots qu'on utilise sont super importants parce qu'ils vont orienter ton cerveau, ils vont aller confirmer ce que tu dis. Alors si tu te répètes « c'est trop compliqué », ton cerveau va aller choisir dans ton environnement tout ce qui prouve et confirme qu'effectivement c'est trop compliqué donc laisse tomber.
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Sarra [00:04:25]: Du coup des mots comme ça, même si c'est un fait, on n'est pas obligé de les répéter toutes les deux secondes. Donc voilà, on a fait quand même tout un travail de déconstruction sur les termes qu'on utilise, mais pas que. Il y avait d'un côté cet état d'esprit, ce qu'on appelle le mindset, mais il y avait de l'autre un corps fatigué. Donc un corps fatigué, Il y a un esprit fatigué, cette source de créativité, cette étincelle ou je ne sais comment on pourrait l'appeler, ce truc-là se tarie, vraiment, mais genre disparaît. Rappelle-toi que le corps et l'esprit fonctionnent par priorité. Donc s'il voit que déjà tu as du mal à dormir et à te reposer et à manger correctement, il va se dire bon j'ai pas que ça à faire d'imaginer des trucs, je vais aller me concentrer sur l'important à savoir tenir debout jusqu'à la fin de la journée. Et c'est un cycle vicieux. Moins tu crées et moins tu te sens bien en fait.
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Sarra [00:05:17]: Donc moins tu crées, plus tu te sens épuisé, pas dans ton élément et plus le burn out prend de la place. Du coup qu'est-ce qu'on a fait avec Laetitia et je pense que ces conseils vont te servir aussi. La première des choses c'est la routine self-care. Alors tu vas me dire que ça n'a rien à voir, arrête de vouloir caser ça à tout prix, tout partout, mais c'est véridique, comme dirait l'autre, c'est ça qui est la vérité. Donc on a commencé par la routine sommeil, parce que comme je t'ai dit, elle avait des enfants en bas âge, dans un bébé qui se lève souvent la nuit. Du coup, ses conditions de dodo n'étaient pas optimales, c'est-à-dire qu'elle n'avait pas un sommeil efficace. Donc on a dû revoir toutes les tâches qu'elle faisait le soir. Là, on parle d'organisation, mais aussi de routine, c'est-à-dire qu'est-ce qu'elle doit mettre en place la nuit, juste avant de dormir.
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Sarra [00:06:03]: Ce sont des routines qu'on a réajustées durant les 6 mois, je suis sûre qu'on l'a revue à plusieurs reprises parce qu'il n'y a pas de miracle. C'est pour ça qu'être suivi c'est super important. On réajuste en fonction des résultats pour avoir un très bon résultat. Et donc le tout c'était pour préparer une bonne nuit de sommeil. Pourquoi est-ce que je vais aller préparer une bonne nuit de sommeil réparateur Ça va me permettre d'être en forme le matin en fait. Et si je suis en forme le matin, dans mon esprit, déjà mon corps, il va se dire « ça va j'ai de l'énergie, peut-être que je vais pouvoir m'évader pour imaginer des trucs et avoir des envies. Mais on n'a pas fait que ça. Je l'ai aussi accompagnée pour qu'elle puisse mettre en place un créneau sport par semaine.
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Sarra [00:06:44]: Alors tu vas me dire pourquoi est-ce que je vais récupérer de l'énergie pour ensuite la dépenser dans le sport, mais pour elle c'était important, c'était vraiment un désir, c'était voir un besoin. C'est quelqu'un qui faisait beaucoup de sport avant et à cause des enfants et de la fatigue, elle a laissé tomber, un peu comme le dessin au final. Du coup, on a quand même mis l'accent là-dessus. Et même si ça n'a rien à voir avec la peinture, n'empêche que ça a généré, en elle, elle a rempli ses réserves de dopamine et de sérotonine parce qu'elle aime bien ça. Le fait de se défouler comme ça, le fait de se donner à fond, c'est quelque chose qui lui fait du bien. Donc forcément, en termes de neurotransmetteur, on est plutôt bien. Et finalement, ces deux routines, qui encore une fois n'ont rien à voir avec la peinture, le truc par lequel j'ai commencé cet épisode, lui ont quand même permis à Laetitia de reprendre de l'énergie et l'envie de faire les choses. Parce que tout est lié.
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Sarra [00:07:37]:
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Sarra [00:07:37]: En fait, si tu améliores un aspect de ta vie, ça va forcément avoir un impact positif sur un autre aspect de ta vie. Et malheureusement, si tu négliges un aspect de ta vie, ça aura aussi des conséquences négatives sur un autre aspect de ta vie. Donc là, on a commencé par reprendre l'énergie en mettant en place la routine self-care du soir, mais aussi reprendre de l'envie et de la bonne humeur et du peps et compagnie en faisant une activité vraiment qu'elle apprécie beaucoup. Ici tu vas en savoir plus sur ce sujet vraiment et comment le mettre en place. Tu sais comment toi de ton côté tu peux mettre en place des actions qui vont t'aider à aller de l'avant. Clairement je t'invite à la conférence de dimanche 29 octobre à 21h, tu trouveras le lien dans le descriptif où je vais te partager les 5 étapes pour créer ton bouclier anti-burnout.
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Sarra [00:08:25]: La deuxième partie, ça a été de prendre des pauses conscientes. Comme je t'ai dit, elle était tout le temps et constamment occupée à gérer la maison, les enfants, les courses, le machin, donc il y avait très peu de temps pour elle. Et ça, c'est problématique parce qu'il n'y a pas du coup cet espace de réflexion hors qu'elle liste combien de kilos et est-ce que j'ai fait la lessive de ce matin. Bref, vraiment prendre du temps pour nourrir cette créativité. Donc vraiment, il ne faut pas sous-estimer le pouvoir d'une promenade. J'en ai parlé une fois sur Instagram, je disais aux gens est-ce que ça vaut la peine de se promener juste pour se promener sans raison particulière et malheureusement plus de la moitié trouvaient ça inutile et je sais pas à côté de quoi tu passes juste se promener avec un truc sympathique dans les oreilles voir rien du tout parce que t'es dans un endroit où il y a des oiseaux qui chantonnent et des rivières qui ruissellent et je sais pas quoi, fais-le. Promène-toi juste pour te promener, ça aère l'esprit et ça te permet de profiter de l'instant là maintenant, tout de suite. Dès qu'il y a des idées parasites qui arrivent, hop, tu les jartes et tu reprends ta promenade. Il y en a, ça va être la méditation. Par exemple, quand j'apprenais à faire de la lecture rapide, le gars nous a dit, minimum, tu fais le cycle de la cohérence cardiaque avec les 6 respirations et tout ça, ça reste de la méditation, mais genre minimum, tu fais ça avant de faire ta lecture rapide, parce que ça soulage l'esprit, ça le sort un peu de...
Sarra [00:08:25]:
Sarra [00:09:58]:
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Sarra [00:09:58]: C'est comme ta casserole qui bouillonne, on a le cerveau comme ça, qui bouillonnent, donc finalement cette méditation ou cette cohérence cardiaque, elle va juste apaiser le truc, soulager, éteindre le feu pour que la casserole se calme. Et là, tu es prêt à attaquer une activité costaude comme la lecture rapide. Je donne un exemple parmi tant d'autres. Mais en tout cas, ne pas négliger ces pauses où on ne fait pas grand-chose et on est juste là pour se calmer, c'est tout. Passer du cerveau au stress au cerveau au repos. Parce que ça va te permettre de recharger tes batteries créatives. Et du coup, pour Laetitia, au lieu de faire de la méditation parce que c'était pas son truc, faire des promenades, bah elle avait pas trop le temps parce qu'on avait déjà calé plein de trucs dans la semaine, on a opté pour la tricothérapie. Ça a été une révélation pour elle.
Sarra [00:09:58]:
Sarra [00:10:43]:
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Sarra [00:10:43]: Vraiment elle a su prendre le temps parce qu'en réalité ça devient addictif. Donc au début c'est peut-être chiant à mettre en place, mais après ton cerveau te dit « Ah, y a ton tricot, oublie pas, tu dois aller le faire ». C'est vraiment comme n'importe quelle addiction, sauf que pour le coup, elle, elle est bien, y a aucun effet indésirable. Donc au début, ça sert comme un anti-cogitation parce que tu es super focus sur ton apprentissage. Et par la suite, le geste automatique, c'est juste un shoot d'hormones de bien-être comme pas permis. Et pourtant, il n'y a pas de surdosage et il n'y a pas de prescription à renouveler. C'est juste du bonheur entre les doigts. Donc, elle a inséré ses moments tricots et ça lui a permis de se reconnecter à la créativité, sachant qu'elle dormait mieux, sachant qu'elle se défoulait plus.Tout ça fait qu'elle a retrouvé sa créativité et maintenant elle se lance dans un projet professionnel en tant qu'artiste. J'ai trop hâte de vous partager ses chefs-d'œuvres et j'espère qu'on ira un de ces jours à son vernissage, à son expo.
Sarra [00:10:43]:
Sarra [00:11:45]:
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Sarra [00:11:45]: Et pour le troisième conseil, je dirais qu'il faut échanger avec d'autres créatifs. Parce que, parfois, discuter avec d'autres personnes qui traversent la même épreuve que toi peut t'offrir vraiment des prises de conscience, ou une nouvelle vision des choses, de nouvelles perspectives. Tu sors un peu de toi-même en fait. Ça c'est toujours utile de toute manière de sortir un peu, se décentrer, sortir de soi et aller voir ce que pense l'autre, ce que fait l'autre parce que des fois on est tellement dans notre... La tête dans le guidon, on répète toujours les mêmes choses, pourtant il n'y a jamais de résultat positif, mais on répète quand même les mêmes choses, c'est bien de sortir un peu de soi, d'aller voir un peu ce qui se fait dehors. Donc, elle, pour le coup, je lui ai recommandé d'aller refaire les musées, les expos, de participer à des réunions d'artistes, à des webinaires.Tu vois, moi, je t'invite à une conférence sur le burn-out parce que t'es concerné par ça, peut-être qu'elle, elle pourrait aussi participer à des webinaires qui parlent d'artistes, de peintres, de styles de peinture, d'outils de peinture ou je ne sais quoi, mais vraiment se remettre dedans, mais pas toute seule dans ton coin. Te remettre dans ton élément, mais avec les autres.
Sarra [00:11:45]:
Sarra [00:12:53]:
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Sarra [00:12:53]: Donc voilà, si tu as un souci de manque de créativité, et encore une fois, je le répète, même un comptable a besoin d'être créatif, je te recommande de voir un petit peu ta problématique principale. Est-ce que tu dors mal ? Est-ce que tu manges mal ? Tu sors plus de chez toi ? Il faut vraiment bien identifier les besoins pour pouvoir mettre en place ce qu'il faut. Mais dans tous les cas, tu verras, tu auras besoin de mettre des routines sauf qu'à remplacer. Bien évidemment, les analyser, les évaluer, les réajuster et les maintenir dans le temps si tu veux vraiment des résultats. Il faudra prendre des temps calmes, des temps de pause, des temps de pleine conscience ou de conscience tout court, ou bref, t'es là, tu fais un truc vraiment consciemment, donc genre ici, t'écoutes mon podcast, t'es concentré avec ce que je raconte. En gros, être concentré avec autre chose mais qui te fait du bien.
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Sarra [00:13:45]:
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Sarra [00:13:45]: Encore une fois, qui n'est pas dans le rendement, dans le faire, mais plutôt dans vas-y, lâche l'affaire et respire un coup. Et ensuite, échanger avec d'autres personnes qui sont un peu dans ton milieu professionnel ou personnel en fonction de ton manque créatif. Bref, te remettre dans le bain, te remettre dans ton élément mais peut-être sous d'autres formes, en côtoyant d'autres personnes pour sortir un peu de toi et voir ce qui se fait ailleurs et ce que font les autres. Je te rappelle que pour aller plus loin, je te conseille vraiment d'assister à cette conférence du dimanche 29 octobre. Je prendrai le temps de partager tous les tips, les conseils que tu peux mettre en place pour créer ton bouclier anti-burnout. Quand je dis bouclier anti-burnout, ça va autant pour celle qui est un peu en mode prévention, qui ne veut pas arriver à la phase de l'effondrement, mais ça correspond tout à fait aussi pour celle qui veut se reconstruire, même si elle est déjà en arrêt chez elle après avoir vécu une réelle phase de l'effondrement.
Sarra [00:13:45]:
Sarra [00:14:51]:
Sarra [00:14:51]:
Sarra [00:14:51]: Merci plus plus pour ton écoute. Si tu veux soutenir le Café des Burnies, tu peux me laisser un avis, me mettre cinq étoiles sur la plateforme de l'Apple Podcast. Tu peux le partager sans modération parce qu'on sait jamais le bien qu'il peut faire à celui qui l'écoute. Et si tu veux qu'on échange sur cet épisode ou sur une autre problématique, je t'encourage à rejoindre la Safe Place, comme ça tu sors un peu des réseaux sociaux, mais au pire tu peux toujours me contacter sur Instagram, je répondrai avec grand plaisir. Sinon on se capte la semaine prochaine pour un nouvel épisode et d'ici là, Booste ton feeling Good.
